Oct 13, 2019
Cette semaine fut marquée par son lot d’absurdités
et de drôleries. Tout d’abord, on a eu notre Noah (inter)national nous faire part
de son intention d’aller dans les banlieues pour prospecter pour découvrir les
champions de tennis de demain puisqu’aucune infrastructure n’existait
permettant de le faire. S’il payait l’ardoise qu’il doit au fisc et ses impôts
en France, on aurait plus d’argent pour les quartiers. Puis on a eu Macron,
honteux demandant des comptes à la commission d’évaluation européenne pour ne
pas avoir accepté d’introniser sa protégée (MODEM) au poste de Commissaire
Européen. Il faut préciser qu’elle est sous le coup de 2 inculpations pour emplois
fictifs au Parlement Européen. On a eu aussi le sinistre de l’Intérieur qui,
devant la commission d’enquêtes parlementaires, nous fait un inventaire à la
Prévert des signes de reconnaissances des radicalisés. Du vrai antimusulman primaire,
du genre, se laisser pousser la barbe peut être un signe de radicalisation.
Sur ce, un membre de la commission
rappela que si il en était ainsi, il serait, lui ministre, arrêté. Et pour
finir la semaine encore deux petites blagues de nos politiques jamais à cours d’idées
pour détendre l’atmosphère. Il faut les inviter dans les mariages. Le premier,
un député LREM (à croire que LRem signifie, les rigolos en marche !) a
fait une proposition de lois pour mettre une taxe supplémentaire à celle
écologique existante sur les véhicules neufs à moteur (électrique ou thermique) :
une taxe en fonction du poids du véhicule (si plus d’1.2 tonne). Et pour finir,
la mairie de Paris, jamais à court d’idées pour emm… les automobilistes, veut
instaurer le prix du stationnement en fonction de …la taille du véhicule. Et
oui, voilà a quoi servent nos élus ! Alors qu’il y a danger à nos
frontières avec l’évasion de terroristes, détenus par les Kurdes et aguerris à
la guérilla, qui vont déferler sur l’Europe suite aux attaques turques, nos
responsables préfèrent parler « chiffons ». Lamentables ! Et comme
par un hasard du calendrier footballistique, lundi, il y a un match France-Turquie
comptant pour l’EURO2020. Sachant qu’en France, il y a des réfugiés kurdes et qu’il
y a des turcs qui les détestaient, c’était l’occasion de montrer à Erdogan (l’Hitler
turc) que la France était forte et n’appréciait pas la guerre déclenchée à nos
frontières. On demandait à la FIFA l’annulation du match pour risque de
désordre public ; les uns voulant en découdre avec les autres ! Mais
non, on maintient le match (mais que représentent quelques morts face aux
sponsors !) tout en lui disant notre façon de penser ; on était plus
agressif avec le Président brésilien pour un petit feu de forêt! Vu le
bordel que met Erdogan en Syrie, on peut se demander si ses conseillers ne
seraient pas PNTA et BHL. On est en pleine décadence, l’honneur n’existe plus,
la France est devenu lâche.
Oct 9, 2019
Le Président, après l’assassinat des 4 fonctionnaires de Police par un converti à l’islam, a fait un discours de combat contre l’islamisation rampante dans les services de l’Etat , ses dérives, les radicalisations…etc. Il a employé des mots forts mais quels sont ou seront les actes en représailles ? Expulsions des familles, des fichiers S, refoulement aux frontières des djihadistes revenant des zones de combats avec femmes et enfants… ? Ces problèmes ne datent pas d’aujourd’hui. Tous les présidents ont envoyé à la population française des messages pour les rassurer : « Cela ne recommencera plus » et pourtant ça recommence faute d’avoir tué dans l’œuf le phénomène. Déjà lorsque M.Poniatowski était ministre de l’intérieur (1974-1977) de VGE, il rapportait que plus de 60% des détenus dans les prisons françaises étaient des étrangers. Incroyable, juste après le discours du Président lors des funérailles des policiers, un monsieur T. organise, jeudi, une manifestation de soutien au terroriste dans la ville où il résidait. Tollé général dans la ville… mais à l’heure où j’écris ses lignes aucune réaction du pouvoir et du préfet pour interdire cette manifestation. Quant à l’Imam de la mosquée fréquentée par le terroriste, il était théoriquement interdit de séjour depuis quelques années, mais il est toujours là avec ses prêches salafistes. Comme disait un jour un responsable israélien à un journaliste, après les attentats de Charlie-Hebdo, qui lui demandait comment Israël arrivait à vivre avec le terrorisme à sa porte : « Quand on voit le germe sortir, on l’élimine de suite ! » CQFD !
Oct 8, 2019
Beaucoup de personnes réclament la démission du ministre de l’intérieur (ou plutôt comme l’aurait dit Coluche : le sinistre de l’intérieur) suite à l’événement survenue à la Préfecture de Police au sein des anciens RG (DRPP maintenant). Il faut dire que M. Castaner n’a pas beaucoup de chance ; à chaque événement qui nécessite une conférence de presse du ministre de l‘intérieur, il reprend des faits inexacts, issus des réseaux sociaux et des journalistes sur place dès les premières minutes de l’événement. Aucune fiche issue de ses services. A croire qu’ils n’ont pas confiance en lui pour gérer la crise ou alors le ministre a reçu des ordres pour minimiser la portée de l’événement pour ne pas faire de vagues pour laisser le temps au Président, au gouvernement, à la porte-parole de préparer un discours lénifiant pour rassurer les français. Pour s’en convaincre il suffisait d’écouter les premiers commentaires des journalistes qui répétaient en boucle, donc on leur a soufflé, que la personne était atteinte d’un léger handicap laissant donc supposer que son action était liée à des problèmes psychologiques. On aurait voulu faire passer ces assassinats terroristes pour un fait divers (ou plutôt d’automne), on ne s’y serait pas pris autrement ! Le poste de Ministre de l’intérieur est essentiel pour la protection de la France et des Français. Il faut être proche des ses fonctionnaires, discret dans sa vie publique comme dans sa vie privée. Or on le voyait en boîte de nuit buvant des boissons alcoolisées avec des amies. Raté pour la discrétion. M. Castaner n’a pas le profil d’un ministre de l’Intérieur. Pour être un bon ministre de l’Intérieur, il faut être un homme (au sens large) qui connaisse le métier d’ « homme de l’ombre », qui a mis ses mains dans le cambouis et serait prêt à les y remettre. Au lieu d’avoir un Fouché, un Vidocq, un de Marenches ou un Pasqua, on a un bobo fêtard !
Oct 5, 2019
Un agent de la
Préfecture de Police de paris a tué à l’arme blanche 4 de ses collègues. Il
s’était converti à l’Islam, il y a quelques temps. Des questions se posent !
Comment un agent de l’Etat radicalisé pouvait continuer à travailler pour un
service de renseignements? Les meurtres étaient-ils prévisibles ? Etait-ce
évitable ? Dans les 2 cas oui, dans un Etat de droit fort mais la
France n’est plus un Etat de droit (chacun faisant ce qu’il veut au nez et la
barbe de l’Etat par exemple l’augmentation des incivilités avec une tolérance….
à 100%). De plus on ne peut plus en France alerter l’Etat sur les problèmes de
l’immigration dans notre société sans s’attirer les foudres de la Justice pour
Islamophobie, incitation à la haine…etc. Du coup comment son chef de service
pouvait avertir sa hiérarchie du changement de comportement de son agent sans
paraître anti-musulman ? Cet agent était affecté aux renseignements et
aurait du être déplacé suite à son changement de religion. Mais si cela avait
été fait, les média, les réseaux sociaux, nos politiques auraient crié au
scandale : « On a muté quelqu’un pour des motifs religieux. » Et
si le ministre ou le préfet avait donné leur accord, ces mêmes bien-penseurs demandaient leur démission. Après les
assassinats, ces mêmes personnes demandent la démission du ministre de
l’intérieur pour … ne pas avoir pris les mesures ad hoc dans les temps pour
éviter ce massacre. D’un côté, il ne faut pas stigmatiser (donc on joue
l’autruche) et de l’autre il faut agir. Mais comment ? Puisqu’on n’a pas
le droit de dénoncer ! Pour agir il faut qu’ils tentent de passer à
l’acte, on ne peut pas faire d’arrestations préventives. Pour mémoire, il y a 3000
musulmans fichés S qui se promènent librement et que les services de police
tentent, comme ils peuvent, de surveillent. Mais comme on a diminué le nombre
de fonctionnaires de police (merci messieurs les présidents), certains ne font
pas l’objet de surveillance faute de personnel. On peut s’attendre à d’autres
attaques car il y a de nombreux agents musulmans qui travaillent dans les
Armées, dans la Police, dans la Gendarmerie, à ADP…. Combien sont-ils ? On
aurait le droit de savoir mais il faut rester œcuménique, tolérant, ne pas
stigmatiser une population…etc. C’est sympathique, mais il faudra combien de
morts pour se réveiller ; ils sont nombreux, même trop nombreux et
toujours aucune action de nos élites (?) gouvernementales. On pleure, on fait
une marche blanche et on oublie jusqu’au prochain massacre.
Oct 3, 2019
Revenons à l’incendie de l’usine classé Seveso à Rouen. On se serait
cru revenir à l’époque de Tchernobyl, de l’amiante, du sang contaminé, de la
vache folle tant la communication gouvernementale fut nulle. Du style
« Ayez confiance, le gouvernement gère » ou « Tout va très bien
Madame la Marquise ». Sauf que, encore une fois de plus, il fut en dessous
de tout ; chaque ministre voulant occuper le terrain sur ordre (les
écologistes sont là et de plus en plus influents), on a eu droit à tout et
n’importe quoi : par exemple, malgré les panaches noirs de fumée, l’air
était respirable dixit les agences de mesures de la qualité de l’air (normal
elles ne mesuraient que la pollution automobile). Devant le tollé,
l’étonnement, l’Etat a pu diffusé tardivement la liste des produits stockés
dans l’usine car c’est classifié Secret
Défense suite au risque terroriste toujours présent. Longue liste mais qui ne
sert à rien. Ce qu’il faut connaître, c’est le comportement de ces produits
quand ils sont portés à de hautes températures (ils fondent, dégagent des
vapeurs…) ou lorsqu’ils se mélangent entre eux voire comment se transforme leur
contenant. Rien de tout ça, juste un inventaire à la Prévert. On est bien informé !
Pourtant le gouvernement en a brassé de l’air ; ce qui aurait pu attiser
le feu ! Et on découvre par l’indiscrétion d’un journaliste que le
gouvernement, très récemment, a allégé
les règles de sécurité des sites Seveso : à savoir qu’ils peuvent, pour
des raisons économiques évidentes, stocker plus de produits dangereux. D’un
côté on autorise l’implantation d’habitations près des sites Seveso et d’un
autre côté, dans le même temps où l’on devrait du coup réduire la capacité de
stockage par bon sens et logique, on l’augmente ! Comprenne qui pourra
l’intelligence (au sens noble du terme) de nos dirigeants !
Dans un autre registre,
mais prouvant la déliquescence de notre société, une femme de 21 ans est tombée
à priori (car il y a présomption d’innocence jusqu’au jugement) du 12ième étage
suite à une dispute violente avec son compagnon. Le dit-compagnon était un
violent déjà condamné pour des faits de violence sur sa compagne à… un stage de
citoyenneté (Sic). J’hésite à ajouter L.O.L. tellement c’est lamentable, la
personne étant décédée,. Dans une chronique précédente je disais que la justice
actuelle ne protège plus la société des délinquants , mais protège les
délinquants de la société ; les faits prouvent que j’avais raison.
L’arsenal judiciaire existe pour protéger les femmes, encore faut-il avoir envi
de l’appliquer ! J’apprends aujourd’hui que l’Etat a décidé de
sévir ; il va publier un guide, à récupérer sur Internet, qui permettra
aux professionnels de la santé, des chefs de service…de repérer, a partir de
comportements, les femmes victimes de
violences conjugales. Dans le même registre, on apprend le remboursement de la
contraception par la Sécurité Sociale pour les mineures de moins de 15 ans. En
effet, il y a chaque année environ 1000 jeunes filles de 12 à 14 ans qui sont
enceintes dont 770 se terminent par une IVG ! Mais il y a une personne de
sexe masculin en face. Or étant mineures, elles sont sous l’autorité des
parents ! Ils étaient où ? Et
c’est aux parents de payer car ils sont responsables de leurs enfants. Ce n’est
pas à l’ensemble de la société de payer pour leurs incompétences et leurs
démissions. On n’ose toujours pas appeler un chat un chat.