Dans mes chroniques précédentes, j’avais dit que la Russie, à force de la taquiner sur l’Ukraine, pouvait nous nuire. Et bien c’est commencé. 2 exemples cette semaine.
Primo, la presque guerre civile en Nouvelle Calédonie dont les manifestants indépendantistes sont instrumentalisés par l’Azerbaïdjan (derrière laquelle se cache la Russie) qui est un pays musulman, anti chrétien et anti juif. Cette ingérence étrangère a été dénoncée par le gouvernement. Mais était-il utile de changer le code électoral de la Nouvelle Calédonie alors que l’Etat savait que les indépendantistes et certains pays attendaient cela pour déstabiliser l’archipel. Quelle mouche a encore piqué Macron et ses conseillers ou plutôt, je dirais, quelle seringue. Il faut arrêter avec les drogues, les gars.
Secundo, l’évasion d’un trafiquant de drogue qui était dans une camionnette du Service Pénitentiaire. Une vraie attaque digne d’un commando des Forces Spéciales, du GIGN ou du RAID. Il n’y avait pas d’escorte policière car l’individu n’était pas un caïd. Etrange cette action où l’on a laissé aucune change aux gardiens de prison. Ils ont été exécutés alors que quelques coups de feu auraient suffit (la camionnette n’était pas blindée). Souvenez-vous comment procédait le grand banditisme pour attaquer des convoyeurs de fonds armées et étant dans un véhicule blindé. Derrière cette attaque, il y a une puissance étrangère à mon avis (la Russie directement ou indirectement). L’évasion n’était qu’un prétexte pour montrer ses muscles. En effet pour organiser cela il faut une logistique, une préparation (aucun indic, aucun service de renseignement n’a eu la puce à l’oreille) qui s’est faite à l’abri des regards donc sur un lieu secret, sécurisé comme une entité militaire (base par exemple). Ce ne peut-être les dealers de Marseille qui aient organisé cette évasion. L’action avait pour but de déstabiliser la France, de faire peur, de montrer que, lors des JO, tout peut arriver.