Chronique 24

Aux Sables-d’Olonne, un inconscient (en interne, j’ai un autre mot qui commence phonétiquement pareil), en pleine tempête, prend la mer et fait naufrage. Les sauveteurs bénévoles de la SNSM se portent à son secours. Les vitres du  bateau de sauvetage explosent sous la violence de la tempête et il devient incontrôlable : Bilan 3 morts. Face aux critiques, on nous parle de solidarité. Il fallait y aller ! Sauver  un irresponsable qui risque volontairement sa vie et fait périr 3 marins sauveteurs bénévoles  peut-on vraiment parler de solidarité à ce niveau ? Pourquoi ne pas avoir interdit les sorties en mer, la traversée des zones maritimes touchées par la tempête ? En aéronautique, quand il y a une tempête, on interdit les vols et on ferme les aéroports. Dans les communes, on ferme les portes des parcs et on interdit toutes les manifestations. Alors pourquoi pas cela au niveau maritime ? C’est aussi au nom de la solidarité que l’on a été chercher 2 irresponsables qui s’étaient aventurés en terrain hostile. Bilan : 2 de nos meilleurs soldats d’élite tués. Marre de cette solidarité mal placée. C’est la même chose pour les «Droits de l’Homme ». En son nom, on rapatrie en France des assassins qui ont fait le djihad et tué des soldats, égorgé des femmes et des enfants. « Les Droits de l’Homme » sont mis à toutes les sauces et servent de justifications à toute lâcheté. Ils devraient être réservés aux hommes droits seulement et non  à ceux qui ne les respectent pas. Cela devrait être les « Droits de l’ Homme Droit » !