Le Prince Charles a été testé positif au Covid-19. Il aurait attrapé le virus lors d’une réunion avec le Prince Albert de Monaco, lui-même positif. Comme l’aurait dit Stéphane Bern : « Covid-19 mais pas n’importe lequel ; le Covid-19 de Princes ». Du coup la Reine Elisabeth s’est cloîtrée à Windsor et on a rentré le Prince Consort.

On apprend qu’enfin la chloroquine allait être prescrite en France. Un mois de perdu et combien de vies ? Tout est relatif car seulement les médecins hospitaliers auront le droit de le prescrire. Par contre aux USA, au Maroc…c’est open-bar pour tous pour la chloroquine ou son équivalent. Pourquoi avoir tant attendu ? Pour 2 raisons, la première typiquement française : la bureaucratie et les normes. On connait sa posologie pour le paludisme mais pas pour le Covid-19 donc il faut faire des tests malgré l’urgence ; protocole oblige. C’est un peu comme si quelqu’un se noyait et qu’on ne lui jette pas une bouée sous prétexte qu’elle n’est pas homologuée NF Iso 9xxx donc un risque qu’elle ne flotte pas ! On croit rêver ! La seconde raison est typiquement macronienne. Tout est fait pour permettre aux grands groupes pharmaceutiques de trouver un médicament voire un vaccin. Le gouvernement fait tout pour laisser le virus se propager pour laisser aux laboratoires privés le temps de chercher, trouver et après la sortie du médicament : jackpot et retour sur « investissement pour le parti Lrem ». Malheureusement un médecin spécialiste des virus connait un médicament, « tombé dans le domaine public » qui peut faire l’affaire et dont le coût de traitement est de 15E.  Donc on fait traîner, on traîne le médecin dans la boue mais comme ça commence à se voir et les français veulent comprendre, le gouvernement admet que ce médicament peut être efficace et lâche un peu de lest. Le perdant, c’est toujours le français confiné. La minute France-Culture : d’où vient confiné ? Confiné vient du latin « con in fine » ; C’est-à-dire « con à la fin ». Ce qui est bien le cas.