Le Prix Nobel de la Paix a été attribué à une annexe de l’ONU. OUF !!!! Sauvé ! Il y avait Gréta von Jeanne d’Arc qui avait été retenue. Elle va pouvoir retourner enfin à ses chères études qu’elle n’aurait jamais dues quitter. Du coup, le Prix Nobel de la Paix 2020 n’est pas devenu le Prix Noble de la Paixtasse.
La COVID se répand de nouveau. On a trouvé les coupables : les jeunes pendant les vacances et au retour sur les bancs d’écoles ou de facultés qui n’ont pas pris les précautions élémentaires pour se protéger et surtout protéger leurs aïeuls. Donc c’est la panique à tous les niveaux. Pas d’inquiétude, on ne change pas les (mauvaises?) habitudes Rien donc de nouveaux derrières les stores feutrés des ministères, des communautés de communes ou des métropoles se plaignant de dépenses supplémentaires sans recettes. Un exemple avec une Métropole moyenne. Il y a une équipe de football pro mais le stade appartient à la Métropole. Pas de matchs suite à l’arrêt du championnat et 150 000 Euro de manque à gagner. On creuse le déficit au lieu de réclamer cet argent aux instances du football, responsables de cet état de fait. Mais pas de vague entre élites. Toujours cette Métropole qui organise une campagne de dépistage (coût 95 000 Euro). On aurait pu penser, suite aux recettes moindres, passer via les réseaux sociaux ou par un communiqué dans le bulletin mensuel de la Métropole, ou par des bénévoles sillonnant les rues voire des appels sono dans les centres commerciaux pour avertir les gens de la campagne. Là aucune dépense supplémentaire. Rien de tout cela mais une campagne de communication orchestrée par une société facturant sa prestation 73 000 Euro. Etrange cette habitude de procéder via une agence de com … alors qu’on aurait pu économiser cette somme qu’on réclamera bien sûr aux contribuables. Donc rien de nouveau chez nos politiques : le même leitmotiv « toujours dépenser plus » … à mauvais escient pour les potes.
Il parait qu’il y a une guerre entre le Nagorny Karabath et l’Azerbaïdjan. Ce qui est bien avec les évènements graves, comme un cataclysme météorologique, c’est qu’on découvre des villages dont on ignorait jusqu’à présent l’existence. Avec ce conflit on découvre qu’il existe un Nagorny Karabath. Je connais un Hubert Bonisseurdelabath mais pas un Nagorny Karabath. Et ce Nagorny Karabath n’est pas quelqu’un mais un pays où résident les Arméniens. Ah ben merde alors! Il existe encore des Arméniens là-bas, je croyais qu’ils s’étaient tous réfugiés en France dans le Show-business. Comme quoi parfois, de tels évènements permettent de parfaire ses connaissances géographiques et s’instruire.