Sous Louis XIII, (où il devait se passer des choses, lui qui préférait les hommes plutôt que les seins des filles), il y avait un ministre nommé. Richelieu. Ce cher Richelieu avait porté au sommet l’Art de défendre l’intérêt de la France. Elle devait être forte, respectable et respectée. Ainsi lors d’une guerre contre une cité, il rasait les murailles pour montrer « qui est le patron » ( ça a plus de gueule que le paysan sur les produits laitiers) et ainsi restaurer l’autorité royale. Et maintenant qu’a t-on ? Le Jeune ou l’Ancien ? On s’en moque, ils sont morts tous les deux. Par contre on a Macron le Jeune (il ne sera jamais Macron l’Ancien, on l’aura viré avant). A l’inverse de Richelieu qui voulait un Etat fort Macron veut le dissoudre en supprimant le statut de la Haute fonction Publique que tous les pays nous envient car elle est composée des meilleurs qui sont au service de la Nation quelque soit le gouvernement. Ils sont indépendants des partis. Avec le projet de Macron, ils n’y aura plus de professionnels dévoués envers l’Etat dans les corps des Préfets, des inspecteurs et dans d’autres Grands Corps de l’Etat, ils seront remplacés par des proches du pouvoir ou des amis du Président. Le Président aura à sa botte tout l’appareil qui fait fonctionner l’Etat. Donc en toute logique en cas de changement de Président tout ce gentil monde va partir et le nouveau va mettre en place ses amis. Ouais ouais… donc si Macron n’est pas réélu et que le nouveau Président est un EELV ou RN voire LFI, il se passera quoi ? On ne sera pas dans la m…. quoiqu’on y est peut être déjà.
Les commerces viennent de rouvrir après des semaines de fermeture. Du coup pour laisser un peu d’air aux commerçants, Lemaire veut décaler les soldes d’une semaine soit fin juin. Avec la fermeture des boutiques, les français n’ont rien acheté et mis de côté en attendant. C’est l’occasion pour les commerçants de refaire leur trésorerie et de pouvoir s’en sortir. Donc il faut supprimer les soldes ( qui furent un fiasco précédemment) et les laisser gérer eux-mêmes les rabais. Mais trop simple pour nos politiques.