Chronique 362

Encore une victime supplémentaire d’une hors-la-loi qui n’aurait pas dû se trouver en France. Combien de dangereuses personnes se trouvent tous les ans,  libérées avant d’avoir purgé leur peine ou non expulsées, et commettent des homicides ? Beaucoup trop mais les juges n’ont pas de compte à rendre contrairement aux policiers qui pour une égratignure sur un délinquant se retrouvent devant l’IGPN. Du coup l’opposition crie au scandale,  demande des comptes. Cette opposition actuelle était la majorité d’avant où le même phénomène d’impunité existait que critiquait la majorité actuelle quand elle était dans l’opposition. Que c’est drôle,  ces politiques ni responsables ni coupables. Évidemment arrive toujours le même leitmotiv de la part du gouvernement en place ( de gauche comme de droite) « il ne faut politiser l’affaire et respecter la douleur de la famille ». C’est facile botter en touche mais les parents de cette jeune fille aimeraient bien comprendre comment elle a pu se faire assassiner. C’est tout ce que le gouvernement a trouvé pour justifier son inaction. Lamentable, le minimum aurait été de reconnaître qu’il y avait des trous dans la raquette voire des fautes professionnelles et que des sanctions pourraient être prises bien que l’on sache que ce genre d’enquêtes ne débouche rarement sur la mise en cause de magistrats.