On est en plein couvre-feu en Ile de France et dans les grandes métropoles. On en est arrivé là suite aux grandes vacances qui furent un fiasco dans le respect des gestes protecteurs contre le virus et à la rentrée scolaire où on laissa se dérouler les fêtes entre étudiants et du coup la promiscuité. Pas la future qui a abusé du vin mais la grande proximité. Bien que parfois la promiscuité puisse engendrer aussi l’ivresse. Donc on a créé divers niveaux de rouge. On était loin de la déclinaison de rouge par Michel Sardou : rouge comme un soleil couchant de méditerranée, rouge comme le verre de Bordeaux, rouge comme le sang de Rimbaud… c’est autre chose, n’est ce pas? En tout cas le rouge de honte n’était pas dans la liste de nos élites, dommage! Devant l’ampleur de la deuxième vague (ou seconde, du moins on l’espère), on créa le couvre-feu non létale pour les zones les plus touchées et l’interdiction partout de toutes réunions publiques et l’interdiction de réunions familiales de plus de 6 personnes. Ce qu’on ne comprend pas c’est que les habitants de ces zones à risques puissent partir dans des régions où le virus est quasi inexistant pour les vacances scolaires. Sans parler des étudiants qui se sont retrouvés samedi pour le premier jour des congés et le dernier jour sans limitation du nombre de participants. Encore des clusters à venir dans les 7 à 15 jours. On aurait voulu que le virus soit uniformément présent sur le territoire que l’on ne s’y serait pas pris autrement.
Barouin, maire de Troyes, ne se présentera pas à l’élection présidentielle. Il y a diverses raisons liées dont celles à ses fonctions hors mairie de banquier. Mais en fait, sur demande de Sarkozy, il s’est désisté. En effet, Sarkozy veut être la sauveur de la France car il mise sur un délabrement de l’Etat (dont il est aussi responsable d’ailleurs). Il ne veut pas de concurrence. Même chose aussi pour Hollande qui attend pour reprendre le pouvoir et revenir aux temps anciens où la politique se résumait à la Droite et à la Gauche.