Le contrat du siècle sur la vente de sous-marins par la France à l’Australie vient de tomber à l’eau. Le contrat a été torpillé par les USA et le Royaume Uni. C’est un vrai naufrage pour la France (plusieurs dizaines de milliards) ; on touche le fond, les abysses. Personne n’a vu venir ce coup bas, tellement il était furtif, on navigue en eau trouble Evidemment ce fut un tollé de la part de tous les politiques: on parle de scandale, de coups de poignard dans le dos … Espérons que dans le contrat étaient prévues des pénalités en cas de retrait et que des sanctions économiques, politiques seront prises contre l’Australie. Mais ne rêvons pas, la France parle beaucoup, s’agite mais dans les faits …D’ailleurs, de suite une première mesure de rétorsion fut prise par la France: annulation de la soirée « pince-fesses » de l’ambassade de France à Washington. Les américains en tremblent encore Quelle naïveté, quelle lâcheté ; on a la palme. Quand comprendrons-nous que pour les USA tout est business; l’amitié ne compte pas ? Les ennemis d’hier peuvent devenir les amis de demain et inversement. Ce qui est étrange dans cette affaire, c’est que personne dans les services de renseignements occidentaux n’a vu venir cette rupture du contrat ou n’a pas voulu avertir la France de ce qui se tramait dans son dos si cette dernière n’avait pas analysé correctement certains indices. En effet ce genre de négociations à trois (USA, UK et Australie) se ne fait pas en un claquement de doigts. Il y avait forcément des rencontres, des réunions, des mouvements d’émissaires diplomatiques, des messages téléphoniques cryptés, des mouvements inhabituels de personnes auprès des ambassades ou d’agences gouvernementales, de diplomates, d’hommes d’affaires …etc. Si les services de renseignements n’ont rien vu, c’est que tout était extrêmement discret ou alors, il y a des trous dans la raquette. Ce qui est encore plus étrange c’est qu’aucun journaliste ne pose la question du Renseignement à nos ministres de la Défense et des Affaires Etrangères.

Après le Macron « Quoiqu’il en coûte-COVID » voici le Macron « Quoiqu’il en coûte-Elections ». Il arrose plein pot. Des millions pour les communes, des millions pour ceux qui ne peuvent plus payer l’énergie (quand on pense que la déréglementation de l’électricité et du gaz devait profiter aux consommateurs, la concurrence faisant baisser les prix), prime et augmentation de salaire pour les sages-femmes (pour les autres cela viendra plus tard, pas tout d’un coup car il  faut étaler jusqu’à la date des élections) … etc. C’est de bonne guerre, mais qui va payer? On n’a presque plus d’industries contrairement à l’Allemagne et on nous vole nos contrats (voir ci-dessus) ; on ne récupère des devises que grâce au tourisme, très aléatoire avec les pandémies.