« Labourage et Pâturage sont les 2 mamelles de la France », telle est la devise sous de Sully, ministre d’Henry IV. Maintenant sous Macron c’est « Magouilles et Déshonneur  sont les 2 mamelles de la France ». J’en ai largement déjà parlé. Donc  on a Magouille dans le maintien de Bordeaux en Ligue2 ; on l’a appris à 3 jours du début du championnat. Pas facile en 3 jours de créer une équipe. Idem pour Villefranche qui ne savait pas si elle restait en National ou montait en ligue2 à la place de Bordeaux. Déshonneur dans l’accueil du Prince saoudien qui est sous le coup d’un mandant d’arrêt international pour assassinat, torture… Tout cela pour qu’il augmente la production de pétrole.  Mais cela ne sert à rien car il fait parti de l’OPEP et il faut une décision collégiale de l’OPEP.

La pénurie continue. Il n’y a plus de croquettes pour chats,  une grande marque. Rupture de stocks paraît il ! Sans doute les paquets sont-ils partis en Ukraine pour nourrir la population.  Quant à la moutarde, elle manque toujours dans les rayons. Pourtant il y a des stocks en France dans les entrepôts des supermarchés. J’ai appris lors de petits réunions informelles par un cadre de la société  C. qui gère des entrepôts pour le compte de groupes de supermarchés. Il reçoit les commandes et envoie aux supermarchés les produits demandés.  Sa direction lui a demandé de ne pas livrer  les cartons de moutarde qui dorment dans l’entreprise. Le personnel  ne comprend pas pourquoi et qui impose cette pénurie sur certain produits. Peut-être que la moutarde est une arme de destruction massive et qu’on la garde au cas où la Russie s’attaquera à l’Europe pour fabriquer du … gaz moutarde? On ne comprend plus rien dans la gestion de la France. Ce qui est certain, c’est qu’on (qui ?) organise la pénurie et l’Etat laisse faire sauf s’il est derrière. A 20% de TVA, un produit valant 10 Euros a une TVA de 2 Euros et s’il passe à 15 Euros, c’est 3 Euros dans les poches de l’Etat sans parler des impôts sur les bénéfices des sociétés qui vont augmenter. Ou alors on nous prépare à des pénuries futures.