L’Etat algérien ne veut pas nous rendre l’écrivain Boualem Sansal. Pourtant on lui a dit : «On vous reprend B. S. et en échange on vous sonne 3 influenceurs ! ». Il n’a pas voulu ; normal quand on a chez soi un tel écrivain on ne veut pas l’échanger contre 3 abrutis dont le QI doit se situer entre l’escargot et l’huître. Du coup le parlement européen a fait voter un texte demandant le retour de l’écrivain mais cette fois sans échange … ni ultimatum. Tous les députés ont voté ce texte sauf des élus de la gauche française. Et plus particulièrement des membres de LFI d’origine algérienne mais de nationalité française. C’est normal, LFI veut faire des musulmans son nouvel électorat (son électorat traditionnel, ouvriers, salariés … a déserté). Trop drôle, la Gauche est traditionnellement défenseuse des libertés, du droit de paroles, des mœurs, du droit d’expression. Et là elle censure la liberté d’écrire.